Mariage de Monaco annulé ? Stéphane Bern s'emporte !
Au lendemain de la rumeur lancée par par le magazine "L'Express", les réactions fusent de toutes parts : Stéphane Bern s'en prend violemment à l’hebdomadaire.
Un jour après la bombe lâchée par le magazine L'Express, le Rocher fait tout pour circonscrire l'incendie. Pas de doute, le mariage princier de Monaco aura bien lieu !
Mais cette dernière vilaine rumeur a attisé le feu de certaines personnes, fidèles de la Principauté.
Quand on parle monarchie, Stéphane Bern n'est jamais très loin. Ainsi, le spécialiste des têtes couronnées a tenu à réagir et à donner sa vision des faits ce matin dans Le Parisien : "C'était trop parfait. J'étais certain qu'une boule puante se préparait. (...) Cette volonté de salir la famille princière est dégueulasse ! Cette famille a connu tellement de malheurs... Qu'on leur foute la paix !".
L'ancien présentateur de Sagas ajoute même qu'il a appelé le Palais afin d'obtenir un démenti. Pour lui, pas de doute, tout se passe très bien : Albert et Charlène sont très heureux ainsi, pour preuve, les deux tourtereaux se sont rendus hier à la répétition du concert de Jean-Michel Jarre.
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Mais pourtant, cette rumeur part bien de quelque part... Régis Le Sommier, directeur adjoint de la rédaction de Paris Match, affirme qu'il est impossible de la nier en bloc. En effet, toujours selon lui, un incident se serait bel et bien déroulé à l'aéroport de Nice. Le mystère s'épaissit...
D'autant plus que toujours selon la même rumeur, La belle Sud-africaine aurait découvert des nouveaux éléments gênants sur la vie passée de son futur mari...
Mais qu'en pensent les principaux intéressés, les Monégasques ?
Une étrange omerta semble régner sur le Rocher depuis hier, Monaco semble être conne un de ces petits villages de Corse où le silence règne, là où les gens savent mais ne disent rien.
Certains évitent la question, d'autres répondent simplement par un "Charlene a gagné au loto, elle n'a plus qu'à valider le ticket. Pourquoi voulez-vous qu'elle s'en aille?".
Rendez-vous dès vendredi devant l'autel.
