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"Quand les enfants stars pètent les plombs"





À Hollywood, nombreux sont les enfants stars qui, comme Macaulay Culkin, ont eu du mal à se remettre de leur soudaine notoriété, basculant dans l'alcool et la drogue. Certains en ont réchappé, d'autres pas.

Macaulay Culkin a tout juste dix ans quand, en 1990, Maman, j'ai raté l'avion (ce soir sur M6) le propulse, du jour au lendemain, au rang de vedette et de millionnaire en dollars. Adolescent, mal dans ses baskets, tiraillé entre ses parents qui se disputent son pactole, il décide d'arrêter le cinéma. Il tente un retour à l'écran dans les années 2000, mais fait surtout parler de lui... pour possession de drogue !
Pourtant issue d'une famille d'artistes, Drew Barrymore , la craquante petite Gertie de E.T. l'extraterrestre , mérite l'Oscar de la précocité : découverte de l'alcool à neuf ans, du cannabis à dix et de la cocaïne à douze. Elle s'en sort pourtant et revient à partir des années 90, notamment dans Tout le monde dit I love you de Woody Allen, avant de cartonner dans Charlie et ses drôles de dames . Également productrice et réalisatrice, elle a désormais bien repris sa vie en main.
Arnold et Willy , la palme du tragique
Corey Haim aura moins de chance. Idole des adolescents dans les années 80, l'acteur de Génération perdue , qui forma un duo avec Corey Feldman, meurt d'une overdose de tranquillisants en 2010, à trente-huit ans. Mais la palme du tragique revient aux trois héros d' Arnold et Willy . Tous sombreront après l'arrêt de la série, en 1986. Spolié par ses parents adoptifs, Gary Coleman , alias Arnold, tente de se suicider puis enchaîne les petits boulots. Il meurt en 2010 à l'âge de quarante-deux ans, victime d'une hémorragie cérébrale. Todd Bridges-Willy tombe dans la drogue et la délinquance. Il sera accusé, puis acquitté, du meurtre d'un dealer.
source: Yahoo.fr

La bière et son histoire : De la Mésopotamie au Moyen-âge



Histoire de continuer à me mettre a dos les ligues antialcooliques, et pour faire suite a mon post précédant, je tenais à vous proposer une petite histoire de la bière depuis ses origines connues, en Mésopotamie, jusqu’au Moyen-âge :
La bière et son histoire : De la Mésopotamie au Moyen-âge
Mésopotamie et Babylonie, berceau de la bière
La Mésopotamie, région entre le Tigre et l’Euphrate, actuellement l’Irak, serait, aux dires des archéologues, le berceau de la bière. C'est dans cette région que l'on à découvert le plus ancien village d'agriculteurs connu : celui de Jarmo, vieux de 9000 ans. Les habitants cultivaient l'orge et deux espèces de froment. Ils utilisaient de la vaisselle de pierre, des poteries en forme de jatte, des outils de silex, des meules de granit et des fours en brique. Conditions et moyens techniques étaient donc réunis pour la fabrication de la bière. Sur une paire de tablettes d'argile le « Monument Blau » conservée au British Museum et datant d'environ 3000 ans av. J.C, la bière est mentionnée entre 10 chevreaux et des mesures de grains dans une liste d’offrande à la déesse Nin Harra (Nin Harra : déesse sumérienne de la fertilité). Cette première boisson fermentée à base de céréales s'appelle la sikaru (qui vient de sikar en hébreux qui signifie l'ébriété). Sur ces tablettes, on voit des figures de personnages portant le grain à germer à ébullition et d’autres, occupées à refroidir la décoction. Les Babyloniens (qui habitaient la partie inférieure de la Mésopotamie) ont appris la science de l'agriculture et de la brasserie des Sumériens. Une loi pour les métiers de la brasserie et de l'hôtellerie, éditée par le roi Hammourabi, comprenant 360 paragraphes et prenant modèle sur les Sumériens, est à ce titre très instructive. (Hammourabi : le plus illustre des rois de Babylone, 1792-1750 av. J.C. Hammourabi fut à la fois un grand conquérant et un grand administrateur. Il nous est connu grâce à son abondante correspondance diplomatique et administrative. Il a réalisé l'exploit d'unifier sous son sceptre une Mésopotamie profondément divisée depuis près de trois siècles). Voici quelques extraits de ce fameux code qui établit les lois pour le commerce mais également pour la bière : « Les brasseurs de mauvaise bière, par exemple trop diluée, seront noyés dans leur propre bière, et ceux qui font et vendent de la bière impure doivent la boire jusqu'à ce que mort s'en suive. Celui qui fait payer sa bière en argent et non en orge, ou qui vend cher une bière de faible qualité, sera noyé. Un prêtre surpris dans un débit de bière sera brûlé... » Les teneurs en épices et le prix de la bière étaient strictement réglementés. Sous le dernier grand roi de Babylone, Nabuchodonosor II, (605-562 av. J.C), les brasseurs apparaissaient comme une organisation industrielle. Ils avaient la place d'honneur dans la procession en l'honneur du dieu Marduk (Marduk signification littérale « taureau jeune du soleil, » le fils de l'Ea, qui est la divinité sumérienne de l'abîme, de la sagesse, déesse des eaux douces), est apparemment le dieu de la magie et des incantations, et peut-être le dieu de l'océan,), qui est tenu pour le dieu babylonien le plus important. Les brasseurs, avec les maîtres de la corporation à leur tête, étaient les seuls laïcs du cortège. Ils avaient le privilège de pouvoir tirer le char du dieu le plus ancien du panthéon babylonien, Anu (Dieu du ciel). La bière n'était pas pour les Babyloniens seulement apport de gaieté ou briseuse de soucis, mais aussi une part importante de l'alimentation par le fait qu'elle était fabriquée, comme chez les Sumériens, à partir de galettes de pain.
De plus, à Babylone, sous le règne de Nabuchodonosor, la fille de l'eau et des céréales était célébrée pour ses vertus médicinales. La Déesse de l'orge et de l’épeautre, Ninurta, et celle des boissons à base de grains, Nidaba sont invoquées pour leur pouvoir de guérison. En effet, le breuvage fermenté soigne les lésions cutanées et combat le choléra. Environ au 6ème siècle av. J.C, il y avait de grandes brasseries à Babylone qui fabriquaient une vingtaine de sortes de bières différentes : 8 bières d'orge, 8 d'épeautre, 4 mélangées... Certaines étaient exportées jusqu'en Égypte. Le matériau principal pour la fabrication de la bière était l'orge. La bière de l'époque n'est bien sûr pas à comparer avec la bière actuelle. Par exemple, le goût était rehaussé par du miel et autre épices, et comme les céréales restaient dans la boisson, celle-ci était trouble. Pour ne pas avoir les résidus dans la bouche en buvant, les Babyloniens utilisaient des pailles en plante ou en os d'animaux, garnis en bas de petits tamis. Le brassage était une activité tellement bien considérée, que ceux qui avaient la faveur de pouvoir le pratiquer, étaient dispensés de bien des obligations, entre autre du service militaire.
En Egypte
De la Mésopotamie, la bière parvint en Egypte. Les pharaons, bâtisseurs de pyramides, étaient aussi de fameux brasseurs. On a retrouvé dans la tombe de Ramsès II des gobelets en or qui n’avaient rien à envier aux fameux cruchons bavarois, car ils avaient une contenance de pas moins de 3,5 litres ! Autres vestiges plus anciens, les premiers verres soufflés de Thèbes datent de cinq mille quatre cents ans environ. D’origine divine, la bière bénéficiait de la double protection d’Isis, déesse de l’orge, et d’Osiris, patron des brasseurs. Elle était tout d’abord une boisson d’offrande religieuse liée aux cérémonies funéraires, comme le révèle « le livre des morts » (3300 av. J.C) où le dieu Atoum (Atoum : lorsqu'il incarnait le soleil couchant, il avait les traits d'un vieillard, et il devenait serpent au moment du voyage dans l'au-delà. C'est donc sous la forme d'Atoum que l'astre solaire regagnait le domaine invisible, parcourait le monde nocturne et se préparait à renaître. En incluant un dieu créateur dans le cycle solaire vieillissant, on y place l'amorce du cycle suivant. Ceci explique pourquoi Atoum désignait le soleil couchant, ce qui peut sembler paradoxal pour un dieu créateur.)déclare: « Je siège sur mon trône,… Je reçois les offrandes de mes autels, je bois à des cruches de bières à la nuit tombante ». Elle devint par la suite une boisson d'accueil (parfumée au cumin et au safran, ou sucrée par des dattes ou du miel) mais également une valeur économique, utilisée comme monnaie d'échange ou de paiement des salaires. Le Papyrus d'Ebers, 1 500 ans av. J.C, rappelle les utilisations de la bière en médecine où elle est utilisée comme ingrédient dans diverses préparations. En effet, ses usages thérapeutiques s’appréciaient. La bière traitait notamment les anémies (grâce à sa richesse en vitamine B) et les dames de la noblesse employaient même sa mousse pour entretenir la fraîcheur de leur teint. Cette boisson se nommait le zythum (ZYTHUM: ou ZYTHON n m vient du grec zuthos : bière, nom donné par les archéologues du XIXème siècle à la bière fabriquée dans l'Egypte pharaonique avec de l'orge fermentée). La dégustation de ces bières sumériennes ou égyptiennes, nécessitait tout de même quelques précautions. Légèrement alcoolisées de l'ordre de 2 à 3 % d'alcool, leur pH acide inférieur à 4,5 permettait d'éviter tout développement de microbes pathogènes dangereux. Cependant, ces « bières » comportaient des éléments flottants, paille venant des diffèrent ingrédients ou grumeaux en suspension, aussi fallait-il les boire avec un chalumeau au bout duquel un capuchon métallique percé faisait office de filtre. Les techniques de fabrication de ce « vin d’orge » utilisées à l'époque, décrites sur des fresques de monuments et sur des papyrus, consistaient à broyer en farine les céréales (orge, millet, épeautre,…) puis, additionnées d'un peu d'eau, à former des pains avant d'être cuites au four, permettant ainsi de les conserver et de les transporter. Les pains d'orge étaient émiettés, mouillés dans de l’eau contenant des dattes et du miel et on laissait fermenter le tout pendant plusieurs jours. La pâte était ensuite pétrie, avant de l'égoutter dans des paniers placés au-dessus de jarres. Les noms les plus fréquents, pour la bière ainsi obtenue, étaient zythum et curmi. Alexandrie, fondée sur les bords du Nil par Alexandre le Grand, était au début de notre ère le centre de fabrication de la bière.
Epoque romaine
Les civilisations grecques et romaines n'accordèrent pas la même faveur à la bière que les Egyptiens qui la leur avaient fait connaître. Elles vont être les premières cultures à se détourner de la bière, au profit du vin, symbole du sang du Christ dès le début de la chrétienté. C'est pourtant sous l'influence de Rome que la bière fut introduite dans la péninsule ibérique, qui sera l'origine de la diffusion de la bière en Gaule. En effet, la bière était utile pour étancher la soif des légionnaires romains. Dionysos n’est devenu le dieu du Vin qu’après avoir régné en tant que Sabazios, le dieu archaïque de la bière. Les Germains l'adoptèrent au Ier siècle avant notre ère. Ils la fabriquaient avec de l'orge, du froment ou de l'avoine maltés et l'aromatisaient avec du miel ou du gingembre. Ils en transmirent l'usage aux pays du Nord, qui en firent leur boisson exclusive dès le IIIe siècle ap.J.C. A propos des Bataves, les ancêtres des Hollandais, on prétend que leur plus grand idéal était de perdre leur femme au jeu et de boire de la bière au Walhalla dans les crânes de leurs adversaires vaincus. (Walhalla : « paradis » des guerriers morts au combat. D'après la mythologie germanique, la fin des temps serait un immense combat d’où nul ne reviendra. Les guerriers du Walhalla auront l’honneur de combattre et de mourir définitivement pour leurs dieux). A l'époque, on ne parlait pas de bière, mais de cervesia (« cervoise »). Ce terme évoquerait la Ceresis vitis (« vigne de Cérès ») et ferait référence à la légende selon laquelle Cérès, déesse des moissons et des céréales, aurait découvert la boisson et en aurait fait bénéficier les peuples dont les terres ne se prêtaient pas à la culture de la vigne. La cervoise était une infusion d'orge germée, parfois additionnée d'avoine, de seigle ou de blé. Mais, sans l'apport du houblon, elle n'avait pas le caractère amer, donc très désaltérant, de notre bière, d'autant plus qu'elle possédait un degré d’alcool bien plus élevé que le nôtre. Aux Gaulois revient le mérite d'avoir inventé le foudre et le tonneau en bois. Le premier était réservé à la fermentation et à la maturation, le second à la conservation et au transport. (Le foudre : autre terme pour fût. Le foudre est généralement de grande capacité et de forme ovoïde).
Au Moyen-âge
A coté des brasseries des abbayes moyenâgeuses, qui employaient d’ailleurs contre rétribution une importante main-d’œuvre laïque, on vit se développer petit à petit dans toutes les communes d’autres petites brasseries. Un des plus anciens documents que l’on connaisse au sujet de la brasserie, est une charte donnée en 1068 par Théoduin, Evêque de Liège, aux brasseurs de Huy. Déjà en 1366, l’ancienne brasserie Den Horen à Louvain, qui devint plus tard la brasserie Artois, payait des accises aux autorités de la ville. Ce n’est qu’au début du XIVème siècle, qu’on vit apparaître les corporations et les gildes (ce terme désigne les associations de marchands ou d'artisans qui se regroupèrent au Moyen Age dans le but de défendre leurs intérêts et de se porter secours mutuel). Au XVème siècle, les gildes de brasseurs formaient de riches et importantes associations dans diverses régions du pays flamand ; les plus puissantes étaient celles de Bruxelles, Louvain, Hoegaarden, Anvers, Diest et Audenarde. Pour les princes, qui devaient tenir compte de la formation de ces gildes, la fabrication de la bière était une source importante de revenus. La levée d’impôts sur la bière est aussi ancienne que la fabrication de la bière elle-même. Dans la principauté de Liège, les taxes sur la bière servaient à l’entretien des remparts de la ville. Des villes comme Diest et Louvain doivent leur prospérité à l’époque à la bière. C’est à cette période que furent ébauchés à Diest les premiers règlements qui, quelques siècles plus tard, devinrent des lois. C’est ainsi que fut fixé en 1563 le poids officiel de grains devant être utilisé pour la fabrication de la bière. Les gildes de brasseurs étaient tenues en haute estime par la population, surtout à l’occasion de festivités, où elles faisaient de larges distributions de bière ! Les œuvres de maîtres flamands comme Teniers, Breughel, Jordaens et Brouwer apportent des témoignages de ces fameuses fêtes, où la bière ne manquait jamais. Le brassage sous cette empreinte corporative s'est $traduit par la fabrication de nombreuses bières locales typiques, répondant au goût de la population de l’endroit. Seules les villes à caractère plus international comme Bruges, Anvers, Gand et Louvain, dont certaines ne faisaient pas partie de la Ligue Hanséatique importaient des bières de la Baltique. (La Hanse ou Ligue Hanséatique désignait, au Moyen Age, une grande ligue commerciale, qui prit naissance en 1241 par le traité formé entre Hambourg et Lubeck dans le but de protéger leur commerce contre les pirates de la Baltique et de défendre leurs franchises contre les princes voisins). Tout comme maintenant, les produits importés, très chers, étaient soumis à des droits de douane. Il n’y avait pas beaucoup de villes qui ne levaient pas de droits d’accises sur la bière, ce qui ne la rendait évidemment pas meilleur marché. Ainsi les bourgeois s’en allaient boire leurs bières en dehors de la ville. Il est connu que les Anversois s’en allaient le dimanche à Borgerhout ou à Bechem pour y déguster leur verre de bière à meilleur compte. Il est évident que l’on buvait énormément de bière. S’il y avait eu à l’époque des comparaisons statistiques, Anvers, au temps de Rubens, aurait certainement dépassé les autres villes avec une consommation annuelle de 450 litres par habitant, ce qui équivaut à 1.25l de bière par jour et par habitant ! Il faut cependant ajouter que la bière était beaucoup moins alcoolisée qu’aujourd’hui. Les ouvriers de brasserie recevaient en plus de leur salaire, une ration journalière de trois à quatre litres. De la renaissance au XVIIIème siècle, la fabrication de la bière est codifiée, réglementée... et fiscalisée! En 1693, Louis XIV vend, sous forme de charges héréditaires, le monopole de sa fabrication.
Et accessoirement, comme je ne vois pas où je pourrais classer cet article dans toutes les catégories déjà existantes, j’en profite donc pour créer un nouveau libellé, celui consacré à la gastronomie… hum, me connaissant, quelque chose me dit qu’il restera dans les profondeurs du classement pour longtemps…





souce feanor-journal.blogspot.com

Les 10 fruits les plus riches en vitamine C

Essentielle à notre alimentation, la vitamine C se cache dans de très nombreux fruits. Pour garder la forme et rebooster cette période hivernale, voici une liste fruitée d'aliments à favoriser pour faire le plein d'énergie !





Les 10 fruits les plus riches en vitamine C
La vitamine C est une des vitamines les plus fragiles, elle ne supporte ni la chaleur, ni la lumière. On privilégie donc  les fruits frais pour bénéficier du meilleur apport en vitamine. Une fois cuits, ils perdent certaines de leurs vertus. Il faut également savoir que la vitamine C n'est présente que dans les fruits et les légumes. Les céréales et les protéines animales en sont complètement dépourvues, d'où l'importance de consommer des fruits quotidiennement ! Pour mieux nous repérer, voici un classement  des fruits en fonction de leur apport en vitamine C pour 100 grammes, du plus riche au moins riche.  

  • 1. La goyave contient 243 mg/100 gr : c'est un fruit tropical qui est encore peu répandu en Europe. On le trouve souvent dans des cocktails. Il est délicieusement sucré et très original.
  • 2. Le cassis 200 mg/100 gr : on ne le sait pas forcement, mais il est plus riche en vitamine C que le kiwi. On le consomme souvent cuisiné dans certaines pâtisseries, il perd alors une grande quantité de son apport en vitamine C.
  • 3. Le kiwi 80 mg/100 gr : facile à déguster, l'idéal serait d'en consommer un par jour, au petit déj pour accompagner notre tasse de thé par exemple.
  • 4. Le citron 65 mg/100 gr : on le consomme rarement brut, on l'utilise plutôt pour assaisonner certains plats comme le poisson. Quelques gouttes de jus de citron dans une vinaigrette donneront un tout autre goût à nos salades également.
  • 5. L'orange 60 mg/100 gr : c'est le fruit hivernal par excellence. On l'adore pressé le matin, pour un bon verre de jus de fruit frais.
  • n peut aussi manger de l'orange en dessert, un régal avec une petite touche sucrée.
  • 6. Le pamplemousse 60 mg/100 gr : il contient autant de vitamine C que l'orange, mais il est deux fois moins riche en sucres. On peut en abuser sans culpabiliser.
  • 7. La fraise 60 mg/100 gr : elle est composée de 90% d'eau, les fraises sont donc pauvres en calories et sont délicieuses à déguster sans autres artifices (on oublie la chantilly et le sucre pour uniquement faire le plein de vitamines).
  • 8. Les groseilles 40 mg/100 gr : elles sont plutôt(...)
  • source: Yahoo.fr


Une Britannique âgée de 23 ans est tombée enceinte sept fois en l'espace de 5 ans, malgré les différents moyens contraceptifs qu'elle utilisait.




En voilà une pour qui la contraception ne semble avoir aucun effet ! Gemma Potter, une Britannique de 23 ans, est tombée enceinte sept fois en 5 ans et ce, malgré les différents moyens contraceptifs qu'elle utilisait.

La naissance de son premier bébé Shaun remonte à 2006, alors que Gemma était sous pilule. Cette jeune maman pense d'abord à un "accident", qui se renouvelle quelque temps après avec l'arrivée de Jessica, son deuxième enfant. Gemma décide alors de changer de contraceptif, et opte pour un stérilet. La jeune femme tombe enceinte tout de même, mais hélas, fait une fausse-couche. Une nouvelle fois, elle change de contraception et choisit l'injection trimestrielle. Sans grand succès, elle tombe à nouveau enceinte et donne naissance à une petite Sophie. Peu de temps après, Gemma subit une grossesse extra-utérine, puis une seconde fausse-couche. Aujourd'hui, cette mère de famille attend de nouveau un heureux événement, elle devrait bientôt donner naissance à son quatrièmebébé.
"J'adore mes enfants mais je n'en veux plus", explique-t-elle au journal The Sun. "Je ne peux pas sortir avec mes amis ou boire un verre. Je suis constamment enceinte. J'ai aussi envie d'avoir un travail, une carrière." Les médecins n'y trouvent pas d'explications médicales, pour eux, Gemma et son époux sont simplement un "couple très fertile".
Et vous, êtes-vous tombée déjà enceinte alors que vous utilisiez un contraceptif ?
source: Yahoo.fr

il Porte Son Papa 20 Km Pour Se Rendre a l'hôpital




il Porte Son Papa 20 Km Pour Se Rendre a l'hôpital
Ce chinois A pu Montrer que L’amour Pour Ces parents n’a pas de Limite
Si Tu aimes Click Share !!  ET partages L’amour !  Partages Les Sentiments Nobles 


He Loves His Dad As Much as Walking With His father on His Back More Than 20 Km !! 


Love is Real Love is Beautiful 

Le chien qui sait calmer un bébé








Sexe : 5 raisons surprenantes de faire (plus) l'amour


Les bienfaits du sexe dépassent le simple cadre de la chambre à coucher. Faire l'amour est bon pour la santé physique et morale, à en croire des résultats scientifiques plutôt surprenants.


Faire l'amour, bon pour le cœur



On ne cesse de vanter les mérites d'une alimentation saine pour prévenir les maladies cardio-vasculaires. On communique moins en revanche sur les bienfaits du sexe sur la santé cardiaque. Des scientifiques britanniques l'ont découvert en suivant 914 hommes pendant 20 ans. Les résultats de l'étude parus dans le Journal of Epidemiology and Community Health s'apparentent à une invitation au sexe : les hommes qui font l'amour au moins deux fois par semaine diminuent de moitié le risque d'attaque cardiaque par rapport à ceux qui font l'amour moins d'une fois par mois. On sait ce qu'il nous reste à faire.



>> A lire aussi : Un test pour connaître votre profil cardiaque
Faire l'amour calme les douleurs

Pendant les rapports sexuels, notre corps libère de l'ocytocyne, une hormone dont le niveau augmente jusqu'au moment de l'orgasme. La production d'ocytocyne va stimuler à son tour la sécrétion de la dopamine et d'endorphine, ces hormones du plaisir et du bien-être. D'où une moindre sensibilité à la douleur. Le professeur et sexologue émérite Beverly Whipple, de la Rutgers University dans le New-Jersey, a constaté le phénomène chez des femmes. Il note que chez les femmes qui se masturbent jusqu'à l'orgasme, "le seuil de tolérance à la douleur s'élève de près de 75 % pour cent".
>> A lire aussi : Le baiser : 4 raisons de s'embrasser plus souvent
Faire l'amour rend plus jeune

Le sexe aussi efficace que les anti-rides ? Faire l'amour souvent serait une bonne cure de jouvence, à en croire le Dr David Weeks. Ce neuropsychologue, chercheur au Royal Hospital d’Edimbourg enEcosse, a interrogé 3 500 personnes âgées de 18 à 102 ans, pendant dix ans. (...)
source: Yahoo.fr